La célèbre journaliste ghanéenne, Serwaa Amihere, a exprimé ses regrets à sa famille, à ses employeurs et à ses proches suite à la diffusion d’une vidéo intime en début de mois.
Dans ses excuses datées du mercredi 24 avril 2024, Amihere, la présentatrice vedette de GHOne TV, a fait preuve d’humilité, de responsabilité et de prise de conscience quant à l’avenir.
Il a été révélé qu’une vidéo controversée montrant Amihere au lit avec un homme d’affaires, identifié comme Henry Fitz, a été diffusée en ligne. Cette vidéo est devenue virale sur les réseaux sociaux récemment, provoquant des débats. Des rumeurs en ligne suggèrent qu’elle aurait été filmée en 2019, bien avant le mariage de l’homme en question.
Dans ses aveux, la figure médiatique expérimentée a expliqué que “le 2 avril 2024, quelqu’un a publié une vidéo intime de moi sur internet. Cela s’est produit près de 5 mois après des menaces et des tentatives d’extorsion, malgré les efforts de la police pour que les auteurs soient tenus responsables”.
Elle a ajouté que “la vidéo (datant de 5 ans) m’a profondément embarrassée, ainsi que ma famille et mes proches. Elle a également porté atteinte à mes employeurs et aux entreprises et marques que je représente”.
Elle a reconnu que la vidéo a nui à ses employeurs, aux entreprises et aux marques qu’elle représente, ainsi qu’à tous ceux qui l’ont soutenue et inspirée au cours de sa carrière.
Serwaa a également admis avoir sous-estimé son influence et son potentiel. Elle s’est excusée pour tout préjudice causé à sa famille, ses employeurs, ses proches et les marques qu’elle représente.
Comme une leçon tirée de cette expérience, l’icône de la télévision ghanéenne a déclaré que la fuite de la vidéo et ses conséquences l’ont amenée à tirer des leçons importantes pour l’avenir.
En ce qui concerne la suite de cette affaire, certains ont demandé à son employeur, EIB Network, de suspendre ou de licencier la journaliste, mais ce dernier a annoncé mener une enquête indépendante et publier ses conclusions. Parallèlement, la police enquête sur l’affaire et a arrêté des suspects présumés d’avoir partagé la vidéo intime.
K.A