Gédeon allume Ks Bloom. En effet, le pasteur Gédéon de Tchétchouvh a encore frappé. Il va au-delà pour s’assurer que les chrétiens fidèles ne s’égarent pas de l’évangile du Seigneur. C’est en cela qu’il s’en prend violemment aux soi-disant chanteurs et musiciens de l’Éternel soutenus par des sectes et se produisant dans des lieux fréquentés par des païens. Cela dit, Dans une vidéo publiée sur sa page Day 1, Gédeon a déclaré : Des batteurs, des pianistes, des choristes, des chantres qui sont comme des mercenaires, ils s’en vont prester dans les funérailles dans les boîtes de nuit et ils se jouent chantre de Dieu.

Gédéon de la Tchetchouvah déconstruit Ks Bloom

C’est ce que les autres ont peur de vous dire, c’est ça je vais vous dire. Abat les artistes mercenaires. Je n’ai rien contre les artistes ivoiriens et ceux du monde entier parce que ce que vous faites c’est votre domaine c’est votre art.

Mais c’est ceux qui disent qu’ils sont chrétiens, ces invités du diable dans l’église qui disent qu’ils sont chantres et on les voit dans les mêmes choses avec les mêmes coiffures. Ils font dread locks, ils font rasta, ils font dread, ils font chion, dit-il dans un premier temps.

Dans la bible, les chantres de Dieu ne quittent pas dans l’endroit du sacerdoce et le sacré pour aller chanter dans les boîtes de nuit, dans les lancement de tournoi de football, de parti politique ou d’anniversaire” rajoute l’homme de Dieu.

Il évoque plus tard certains qui sont parrainés par des sectes et qui sont appelés à se produire dans ces lieux et organisations “diaboliques”.

“Ils se pavanent d’endroit en endroit et même si là où il va, ça n’a rien à voir avec ce qu’il croit, comme c’est un maudit et c’est l’argent qui est son intérêt ils s’en va quand même.”, tacle-t-il pour faire référence à Ks Bloom.

“Si tu es chantre ta sphère, là où tu dois développer ton talent c’est au niveau de l’église, parmi les chrétiens et non dans les endroits de distributions de prix du meilleur artiste de l’année…Abat les artistes Akpani ! “termine-t-il sous les ovations de la foule venue l’écouter.