Diana Bouli fait des confidences sur sa mère

Diana Bouli a fait des révélations inattendues sur sa génitrice. L’influenceuse qui a grandi au côté de sa grand-mère a révélé que sa mère était malade depuis plus de 11 années.

La tiktokeuse qui vit depuis un moment en Côte d’Ivoire, a dévoilé les raisons qui l’ont poussé à choisir ce pays. D’aucun pensent que Diana Bouli a renié son pays d’origine.

“Rejeter son pays, j’ai beaucoup lu ça et moi je rigole. Rigoler parce que c’est un truc que je n’ai jamais fait. Je n’ai jamais renié mon pays.

En vrai quand j’étais chez moi au Cameroun, j’avais beaucoup de rêves, j’avais beaucoup de choses à apporter malheureusement. Il n’y avait pas assez d’ouvertures pour moi. Peut-être par le fait que je suis quelqu’un d’assez retiré, ce que je ne regrette pas. Je préfère venir avec mon art, proposer ce que j’ai à proposer. Ceux qui veulent bien le prendre, ils le prennent.

Je me suis dit quel est le pays où est-ce que je me sens comme chez moi ? Et j’ai pensé à la Côte d’Ivoire parce que c’est un pays qui a toujours su bien m’accueillir. Parce que je me rappelle la première fois que je suis arrivée ici, directement je fais les plateaux les plus intéressants ici, je suis accueilli comme quelqu’un. Je reçois de la reconnaissance, on se sent comme à la maison, on te tient la main pour que tu montes. Ils ont peut-être la grande bouche, mais ils ont cette espèce de pureté là.

La vérité, non je ne pense pas retourner pour le moment au Cameroun parce que franchement là je suis à une période où vraiment c’est le tournant décisif professionnel, avec des projets qui arrivent ici sur Abidjan. D’abord prendre soin de ma petite carrière que je veux faire évoluer, et le mieux pour moi maintenant je pense c’est de rester dehors et prendre beaucoup de courage et d’élan pour un futur meilleur. Si un jour je pense repartir, je repartirai mais pas pour le moment.

Je me rappelle qu’il y a une interview qui me demandait : Cameroun ou Côte d’Ivoire ? Sans hésiter j’ai dit Cameroun car sans le Cameroun on ne m’aurait pas moi donc je ne regrette pas. Comme dans toute chose il y a les bons et mauvais côtés, il faut faire avec.

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Il y a une certaine toxicité que les internautes de chez nous ont et qui est très néfaste pour le bon fonctionnement des carrières de nos créateurs de contenus ou des artistes camerounais. Et déjà je suis fatiguée qu’à chaque fois qu’il y ait de la haine chez moi. J’ai d’abord quitté parce que ça commençait déjà un peu à imputer sur ma vie personnelle. Des gens qui veulent te mettre en prison, des gens qui veulent de faire ceci. J’ai dit eh pardon ».

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