Nerus Elemamba, un diplômé de l’école polytechnique fédérale de Nekede, dans l’État d’Imo, âgé de 30 ans, se serait suicidé.
Son corps aurait été retrouvé pendu dans sa chambre lundi soir dans son village d’Umuohii, communauté d’Oboama, dans la zone de gouvernement local d’Ezinihitte Mbaise, dans l’État d’Imo.
Il se serait suicidé après avoir participé plus tôt aux travaux manuels du village organisés par ses pairs.
Une source qui s’est entretenue confidentiellement avec notre correspondant mardi matin a déclaré que le défunt, qui étudiait l’architecture à l’école, ne montrait aucun signe de dépression.
La source a déclaré : « Le jeune homme, Nerus, est originaire du village d’Umuohii, dans l’État d’Oboama Ezinihitte Mbaise Imo. Il s’est suicidé hier (lundi) soir.
« Personne ne connaît la raison de son action.
« Il est diplômé en architecture de l’École polytechnique fédérale de Nekede. Jusqu’à hier (lundi) matin, il était en très bonne santé et participait au travail manuel des jeunes du village.
“Plus tard dans la soirée d’hier (lundi), son corps a été retrouvé pendu dans sa chambre.”
Une autre source a révélé que le défunt n’avait laissé aucune note de suicide.
La source a expliqué : « Nerus Chinaechenwa Elemamba, deuxième fils de feu M. Cajethan Elemamba, a été retrouvé hier (lundi) soir mort, se pendant dans sa propre chambre.
“Nerus a participé au travail manuel des jeunes hier (lundi) matin, semblant en très bonne santé avant que ce malheureux scénario ne se produise.”
Le chef de la jeunesse du village, Iheukwumere Ibeh, s’est entretenu avec notre correspondant mardi matin et a déclaré que les villageois étaient choqués par cette évolution.
Il a révélé que la victime était enterrée après que les rituels culturels nécessaires aient été accomplis avec succès.
Le leader de la jeunesse a déclaré : « C’est choquant. Personne ne connaît la raison de ses actes. Il n’a laissé aucune note derrière lui. Il n’était pas marié. Il a entre 30 et 31 ans. Il n’a pas été transporté à la morgue. Il est enterré au moment où nous parlons. C’est après que les rituels culturels nécessaires pour apaiser la terre aient été mis en œuvre.
Contacté, le porte-parole de la police de l’État, Henry Okoye, a déclaré qu’il n’avait pas encore été informé de l’incident.
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