Cristiano Ronaldo ne changera certainement jamais ses habitudes sur le terrain, quel que soit l’environnement dans lequel il se trouve.
Sa dépression nerveuse sur le sol saoudien semble devenir de plus en plus agaçante. À cet effet, des appels à l’intervention du ministère du Tourisme ont été lancés.
Les gestes que Cristiano Ronaldo a qualifiés d’antisportifs sur le terrain commencent à mettre le monde arabe mal à l’aise. Le joueur portugais a laissé ses impulsions prendre le dessus lors de l’affrontement en quart de finale de la Coupe du roi saoudien avec Abha et a eu des réactions très critiquées.
Cristiano Ronaldo s’est envolé gratuitement pour l’Arabie saoudite cet hiver après avoir quitté Manchester United. Désormais à Al Nassr, le Portugais tente toujours de trouver ses marques, des marques auxquelles il ne parvient pas à faire correspondre ses sautes d’humeur.
L’attaquant de 37 ans, connu pour son effusion de sang, a fait un autre geste lors du match face à Abha mardi dernier qui n’a laissé indifférent aucun supporter d’Al Nassr. Arrêté sur la contre-attaque par l’arbitre qui a sifflé la fin de la première mi-temps, CR7 a lancé le ballon de toutes ses forces contre la pelouse et a fait un geste nerveux vers le centre.
Un autre geste est survenu après le match contre Al-Ittihad, où les Portugais ont presque décidé de jeter la bande par terre et ont donné des coups de pied aux bouteilles d’eau sur le terrain.
Le journaliste saoudien d’Al Jazeera Abdulaziz Al-Hadlaq, irrité par ce comportement qui n’entre pas dans le cadre de son contrat et de sa mission de promotion du tourisme saoudien, a lancé un défi public au ministère du Tourisme sur le site de réseau social Twitter.
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«Je demande au ministre du Tourisme d’intervenir et d’avertir la star internationale Cristiano Ronaldo de cesser de recourir à de tels gestes antisportifs. Ils ternissent son image et ne servent pas l’objectif pour lequel il a reçu le contrat [200 millions d’euros annuels], qui est de promouvoir le tourisme et la renaissance de l’Arabie saoudite dans le monde», a-t-il écrit.
