Poupette Kenza, l’influenceuse, est de nouveau sous le feu des projecteurs.
« Je viens d’apprendre que j’ai interdiction de poser un pied sur le territoire marocain, mon pays. Je suis traumatisée à vie », a écrit Poupette Kenza dans sa story sans plus de détails.
Déjà pointée du doigt par le passé, Poupette Kenza est de nouveau dans la tourmente. L’influenceuse qui cumule près d’un million d’abonnés sur Instagram est soupçonnée d’avoir fait la promotion d’une cagnotte pour des orphelins marocains, dont les fonds ont disparu. Comme le révèle Le Parisien lundi, l’association en charge de l’orphelinat, Atlas Kinder, souhaite porter plainte contre la jeune femme pour « abus de confiance » et « détournements de fonds ».
Mais la cagnotte, mise en ligne sur une plateforme controversée baptisée CotizUp, est directement gérée par l’association Bel Niya. Celle-ci aurait enregistré 200.000 euros de dons après l’appel lancé par Poupette Kenza, de son vrai nom Kenza Bechrif, et par sa cousine, elle aussi influenceuse. Problème : Atlas Kinder affirme ne pas avoir reçu l’intégralité des sommes.
Dans un premier temps, Bel Niya n’aurait voulu verser que 28.000 euros à l’orphelinat. Une décision motivée par les difficultés de l’association mais pas que, selon Atlas Kinder : « De plus, il a été indiqué qu’une partie de cette somme devait être versée à l’influenceuse Poupette ainsi qu’à son équipe », explique l’association au Parisien.
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En réponse, Atlas Kinder annonce porter plainte contre les deux femmes pour « diffamation et harcèlement » sur les réseaux sociaux. Ainsi que pour « actes illégaux » envers Kenza, sa cousine et Bel Niya.
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Sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes demandent des comptes depuis la révélation de cette affaire. Certains rappellent en effet que la cagnotte n’a jamais été ouverte pour d’autres structures que l’orphelinat géré par Atlas Kinder.
