Jeudi 8 mai 2025. Le rire s’est éteint. La web-comédienne ivoirienne Jolina, figure montante du web africain, est décédée des suites d’un terrible accident domestique. Victime d’une explosion de gaz survenue à son domicile, l’artiste n’a malheureusement pas survécu à ses graves brûlures. Une tragédie qui plonge ses proches, ses collègues et des milliers de fans dans une douleur indescriptible.
Les raisons du décès de Jolina
Tout est allé très vite. Ce jeudi noir, alors que la comédienne s’apprêtait à cuisiner, sa bouteille de gaz aurait explosé. Gravement blessée, elle a été prise en charge en urgence. Mais malgré les efforts des médecins, elle a rendu l’âme dans la soirée. La nouvelle a circulé d’abord en privé, avant de bouleverser la toile au petit matin. Incrédulité, tristesse, hommages… les réseaux sociaux ne parlent que d’elle.
Jolina, c’était plus qu’un personnage. C’était une voix. Celle de la jeunesse ivoirienne débrouillarde, drôle, authentique. Connue pour ses vidéos virales sur TikTok, Instagram ou encore Facebook, elle abordait avec un humour décapant les réalités du quotidien, sans jamais perdre ce regard tendre sur la vie. Ses personnages, souvent inspirés de la rue, de la famille ou de la société, faisaient rire autant qu’ils touchaient. C’est aussi cela, le génie de Jolina : faire réfléchir en faisant rire.
Sa disparition, brutale et injuste, ouvre aussi un débat nécessaire sur la sécurité domestique. Combien de foyers utilisent encore des équipements vétustes, au mépris des risques ? Ce drame, malheureusement, rappelle une réalité souvent ignorée : celle des accidents domestiques meurtriers, dans des contextes précaires.
Mais au-delà du choc, ce qu’il faut retenir, c’est l’héritage. Jolina laisse derrière elle des centaines de vidéos, des milliers de sourires, et surtout une communauté fidèle qui, à travers les larmes, continue de partager ses meilleurs moments. Ce n’est pas qu’une humoriste qui part, c’est une étoile qui rejoint le ciel, après avoir illuminé nos écrans avec amour et vérité.
Repose en paix, Jolina. Ton rire, lui, ne s’éteindra jamais.
