La flotte de la marine marchande des pays africains joue un rôle essentiel dans la stimulation de la croissance économique et l’amélioration de la connectivité régionale sur le continent.
Elle catalyse la prospérité, favorise les connexions et renforce la sécurité nationale. En exploitant le vaste potentiel des ressources maritimes, l’Afrique peut s’engager sur la voie du développement durable, de la prospérité et de la résilience au XXIe siècle.
Lorsqu’il s’agit de permettre le transport de marchandises et de biens sur les mers, la flotte de la marine marchande joue un rôle essentiel. La nécessité d’une flotte de marine marchande forte est cruciale en Afrique, où le développement économique et la prospérité sont de la plus haute importance.
Selon Global Firepower, une plateforme qui met à jour chaque année les statistiques des armées du monde entier, « la marine marchande d’une nation est une force de navires opérant sous des bannières civiles en temps de paix, et en temps de guerre, commandés par la branche navale du service pour augmenter la force principale de combat de surface ».
Par conséquent, pour évaluer l’ensemble de la force navale d’un pays, il faut tenir compte de la taille de sa marine marchande. Si certains pays africains peuvent se targuer d’avoir une flotte marchande assez importante, d’autres n’ont pas cette chance.
Faute d’accès aux mers ou aux océans, certains pays enclavés de la région n’ont pas besoin d’une marine étoffée ou d’une industrie maritime.
Ces nations contrastent beaucoup avec les pays africains ayant un accès maritime et dépendent souvent d’eux pour le commerce maritime et les affaires navales.
Ceci étant dit, voici les 10 pays africains ayant les plus petites flottes marchandes, selon le Global Firepower Index.
Note : Les pays africains dont la flotte marchande est nulle n’ont pas été mentionnés. Ces pays comprennent le Mali, le Tchad, la République centrafricaine, le Burkina Faso et le Botswana,
