Les pratiques d’auto-satisfaction sont courantes, et de nombreuses personnes ont leurs préférences en matière de méthodes.
Certaines utilisent des objets du quotidien, comme le concombre ou même le jet d’eau de la baignoire sous la douche. Cependant, une femme à la recherche de sensations plus intenses a choisi d’utiliser du manioc pour cette expérience. Après les événements qui ont suivi, il est sûr qu’elle ne répétera pas cette expérience de sitôt.
Il y a environ deux ans, une femme, que nous appellerons Aline (pour protéger son identité), s’est retrouvée à l’hôpital avec du manioc coincé dans son v@gi.n. Elle avait utilisé ce tubercule pour tenter de satisfaire ses désirs, désirs qu’elle ne parvenait plus à combler avec des partenaires masculins. Cette situation a soulevé des questions sur les choix inhabituels de certains individus en quête de plaisir et les risques qui y sont associés.
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Il est essentiel de se rappeler que la sécurité, la santé et le bien-être sont prioritaires lorsqu’il s’agit d’explorer sa s3xu.alité. Les choix de jouets sexuels appropriés et la connaissance de leur utilisation en toute sécurité sont cruciaux pour éviter des situations inattendues et potentiellement dangereuses.
“Quand un s3xtoy ne suffit pas pour certaines femmes avec un appétit démesuré, il reste…le manioc. C’est ce qu’une femme a utilisé pour atteindre le 7e ciel. Ce n’était pas une bonne idée! en effet, le prés3rv@tif qu’elle a utilisé pour faciliter la p3nétr@tion est tombé et le tubercule de manioc est resté coincé dans son v@gin”, écrivait CamerounWeb.
