Venom le cascadeur
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“Je chantais dans un maquis où…” : Venom le cascadeur fait des révélations

Venom le Cascadeur, de son vrai nom Koffi Olivier, partage le choix de sa nouvelle vie lors d’une master class à l’IIPEA, l’université dont il est l’un des étudiants.

Venom le cascadeur partage ses expériences de vie lors d’une master class dans son entreprise. « À un moment de ma carrière, j’étais l’un des meilleurs artistes spot de Côte d’Ivoire, mais j’avais l’impression que le maître me disait :

“ne t’arrête pas là. Vous valez plus. J’ai décidé d’arrêter ce genre de chanson pendant qu’elle fonctionnait, pourquoi ? Parce qu’il faut calculer ce que je veux devenir dans cinq, dix ans. Ce que je peux vous conseiller, c’est d’aimer ce que vous faites”, a déclaré Koffi Olivier.

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Selon lui, la passion est l’essence du succès de chaque travailleur. « Quand j’ai commencé, je chantais dans le maquis de Gonzague (quartier de Port-Bouët), où je recevais 15 000 francs CFA par semaine. C’est l’argent économisé qui m’a permis d’enregistrer ma première chanson’‘, a-t-il déclaré.

Dans son dernier single (Gbètôh Bada), Venom exhorte à faire confiance à Dieu, car il n’y a pas de déception avec lui.

Ange Zountchegbe est un journaliste, créateur de contenus béninois. Consultant en communication digitale.