Sous la direction du Président de la Transition Ibrahim Traoré, les collines du Burkina Faso connaissent un essor vers la modernité.
Dans un pays marqué par les tumultes, le capitaine Ibrahim Traoré a lancé une révolution silencieuse mais décisive : la numérisation complète de l’administration d’ici 2025.
Le décret émis lors du Conseil des ministres du 8 mai 2024 n’est qu’une première étape vers un Ouagadougou 2.0.
Cependant, c’est un grand pas en avant ! En quelques décisions, le capitaine ouvre une nouvelle ère pour la bureaucratie nationale. Les longues files d’attente, les dossiers égarés et les tracas administratifs seront bientôt de l’histoire ancienne.
L’objectif est clair : offrir aux services publics burkinabè des systèmes d’information fiables et des plateformes dématérialisées dignes du XXIe siècle.
C’est un défi de taille pour un pays qui a souffert de décennies d’inertie. La ministre Aminata Zerbo-Sabane le reconnaît parfaitement.
En tant que pionnière du numérique, elle se prépare à un défi de longue haleine : équiper le pays de services en ligne fluides et sécurisés, tant pour les citoyens que pour l’État.
Cependant, de nombreux obstacles se dressent sur leur chemin, comme la cohérence entre les administrations, les tests insuffisants et les failles de cybersécurité. Tous ces défis doivent être relevés pour que cette transformation technologique soit un succès.
Ouagadougou aspire à moderniser son administration, loin des déceptions du passé.
La route sera difficile, mais l’espoir renaît dans un pays qui guérit encore de ses blessures. Avec cette offensive numérique au Burkina Faso, le capitaine Ibrahim Traoré promet une renaissance par la modernité.
À court terme, chaque Burkinabè devrait bénéficier de précieux gains de temps, libéré des tracas bureaucratiques. Le bonheur se trouve-t-il au bout d’un clic ?
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